20200610

L'un taire, prête des écrits

Laissant libre
L'interprétation
Voulant vivre
L'écho et ses versions
Au travers des écrits
Qui se murmurent
Là où l'on ne crie
Qui se frissonnent
Qui se voient
Et s'entendent
Lorsque l'attention
S'y prête
Lorsque l'écoute
Se joue
Lorsque enfin
L'on joue.

Il sut que

Issu des Forêts,
C'est aux appels
De la Nature
Que j'appris à répondre

Issu d'une Culture
C'est avec l'envie
De découvrir et partager
Que je me tourne vers l'Autre

Issu de Mots
C'est un sens
Se dessinant
Que j'aime émettre.

20200508

L'oeuvre


Si ça va
L’aile
Le cou
L’ « Œuvrer »
Le vrai
Le rêverai
Elle élèverait
L’Ère des Réels
À l’heure irréelle
Entre rêve et réalité
Entre l’éther et la mer
Entre Cieux et Monts
Liant Lune et l’Eau
Triant au petit trot
Pieds bien calés dans les étriers
De là,
Je hume le vent
D’ici,
J’oscille ainsi
Feu ardent
Dénué de haine nouée
Phare allumé
Pour l’Icare enflammé
Luciole ou encore feu-follet
Rappelant de sa lueur qui brille
Celle qui du ciel étoilé luit
Pour qui regarde plus haut
Au loin dans la nuit
Au dessus du feu et de ses braises qui scintillent.

L'Oasis


L’oasis

Je me souviens d’une eau
Une eau autour de la quelle
L’on s’est assis.
Au loin c’était à six qu’on était perçus
De près c’était des idées, du vécu.
Dans les levers de soleils se trouvent ces souvenirs
Dans ce soleil oscille cette fréquence.
D’où est ce souvenir
Vaillant mirage persistant
Souvenirs de cette escale
De cette Oasis unique
Aux palmiers verdoyants
Aux eaux chatoyantes
Aux ombrages bienvenus
Rencontre d’un nouvel étant
Deux font la paire en paix chez elle
Et la dorsale frissonne à son évocation
D’une vive, un souvenir ardent
Tâtée d’un pied innocent
Au travers des sables du temps
Une étonnante sensation
Dont le souvenir ne s’estompe
Dont le cœur ne s’écarte
Elle
Est Mie-Lionne
Reine des Savanes
Œil de mes Tornades
Sens de mes Cyclones
Force de Vie Magnétique
Escale des Rêves Partagés
Braise Matinale
Feu né
D’étain,
Sel
Calcite
Astre en bulles lentes
Rêvévolutiosociorécessévosolutions
Rêves, essais,
Et c’est,
Ces ‘et vos solutions ?’
Réessaies et sans cesses
Ces rêves de soies aux circonvolutions souples
Ses claquements d’ailes qui martèlent,
Telle ces Oies Sauvages qui fusent dans les cieux
Dont les V fendent les nuages et montrent un chemin
D’Âmes migratrices
Des Peuples qui voyagent
Lune qui a Terre
Nil serpentant

20200503

Ôde de l'Aube du Dimensch !


20200503

Si je devais écrire une Ôde,
Je le ferais lors de cette Aube
Car avant d’aller puiser à la roue
Je me souviens de ce qu’est le bon bout.
D’Oraisons d’ors et déjà scintillantes d’or
Désormais drôles même si l’on dort
Dorénavant offertes comme paroles
Ouvertures mobiles autorisées
Ô toi la haute autre
Que j’ose hausser
Aussi haut
Et
Si
Eau
Ici
Et c’est
Essaie
Si elle
Est Ciel
Des Cieux
Contemplés
Par les deux
Parlent les deux
Parle l’aide d’eux
Les deux le parlent
Et deux le disent
Eux le disent
Et les Dieux
L’aide-dieux
Dis Eux
Deux
Dieux
Eux deux
Dix eux
Dans chaque manche
En ce dimanche
Et c’est dit
Mensch !
Alors

20200430

Pourquoi ? Et bien voilà ::


J’œuvre par Amour
Par amour d’abord
Et ensuite,
Tout court.
Par amour
De Toi
Par amour
Pour Toi.

À toi
L’Amour
Qui
Depuis un jour
Qui
Me semble remonter aussi loin qu’un toujours
Une présence éternelle dont je me souviens en tant que troubadour
Un ressenti profond bien réel et une aura fantastique
Une force et une énergie extraordinaire
Que j’admire et contemple
Avec souvent des yeux émerveillés
Qui le brilleraient si ils étaient emplis de lucioles,
De vers luisants,
De verts fluo et phosphorescents
De feux follets oscillants
Là-bas au loin en arrière-plan.
J’ai toujours cru,
Je crois toujours,
Et je croirais toujours
En ta capacité à te redresser
Lorsqu’une bourrasque te déséquilibre,
À continuer à avancer sur ce chemin,
Cette Quête.
Ce parcours de reconstruction
Qui se fait aussi bien
Que précisément
Évolue.
Ce temps qui passe,
Cette illusion qui les terrasse
Fais-en fi
Et prends le tien
Celui que tu te dédies,
Ce temps que tu veux
Cette évolution
Qui est
Tienne.
Cette évolution
Que je vois progresser
Vers une amélioration
Est prometteuse et il ne faut pas lâcher.
Tu as une force et un courage énorme
D’avoir déjà fait beaucoup sur ce chemin
Souviens-toi que pour Toi
Aussi,
Être heureuse
Est un choix
Qui mène
Depuis
Et va vers
Une vie,
Une légereté,
Une sérénité
Une paix du cœur
De l’Âme
& L’Esprit,
Du corps,
De la Vie.

20200423

J'aime


J’aime ces silences,
Ces temps à t’écouter
Même si, quand on y pense,
Tu n’es pas tout à côté.
J’aime ces ondulations lentes
Qui me font penser à la brise dans les plantes
Ce que je ne peux être sans aides
Puisque mes membres sont trop raides.
J’aime ces sourires étirés
Qui, tes oreilles, essayent de croquer,
Sur ton visage qui se retrouve ainsi
Éclairé même dans la nuit.
J’aime tes émissions
Parlantes et avec passion
Exprimées
En paix.

Poétesse


Poétesse de son propre culte, elle diffuse César de son temple.
Lune aux multiples planètes, elle irradie radieusement à l’horizon,
Protège ses astres d’astéroïdes en perdition,
Anime le haut de ses ondes amples.
Esprit de l’eau très similaire
Aux émanations de naguère
Je vois en toi ce que je vis
Je bois en toi ce que je dis
Je vis de sidérales et dors
Mais les veilles rendent plus fort
Apportent clarté dans la lucidité
Lient des âmes et t’y es


l'eau 2


C’est une ode que je voudrais écrire
Chanter, proser, rimer son sourire
Partageant une nouvelle fois
Ces expériences que voilà
Étant encore au son de sa voix
Sous le charme malgré moi
Je vis les déclics et les claques
Au fil des flux et reflux
Comme les vagues au bord d’un lac
Alors que je croyais que je n’en peux plus
Me voilà relancé d’un bon pied
Allant plein de bonheurs et retrouvant mon entrain
Parcourant des collines en attendant de vous retrouver
Curieux de ce que deviendront nos espérés lendemains

20200422

Ô Toi

Ô Toi
Hautes Oies

Que je t’aime,
Toi l’abricot.
Ta douce couleur rougeoyante,
Ta texture si attrayante,
Ta forme subtile
Évoquant l’Idylle,
Ton hymne gustatif
Aux fins goûts délicats
Me laissent pensif
Quand je mords en toi.
Dans ton cœur multiple,
Lieu de ton amandon,
Trésor ramené de tes périples
Une branche, une feuille, un tronc.
Tu protèges ton amertume
En une boîte de Pandore
Contrastant bien lorsque je hume
Tes douces senteurs que j’adore.



Que je t’aime,
Toi le citron.
Petit Soleil des quatre saisons
Sous toutes tes formes tu es bon.
Givré, tu es surtout l’été,
Alors qu’en frais, tu es pressé.
Si ton goût pourrait être le son
D’une trompette ou d’un clairon,
Je serais un cuistot zélé
Rappant, zestant toute l’année.
Ton jus, lorsque bu, m’étire
Les lèvres jusqu’aux oreilles
En un immense sourire
(Visage qui s’émerveille)
Qui est mon geste de plaisir.
Un fort spasme de vie
Me traversant ainsi
Vitaminé à souhaits
C’est bien ce qu’il me plaît.



Que je t’aime,
Toi la montagne.

Mieux que d’aller vers la mer,
Ce miroir d’où l’on revient,
On peut te gravir, toi la Terre,
Puis mieux voir ce que l’on a parcouru comme chemin,
Aussi celui qui reste à faire.

Tes paysages grandioses
Sont parcourus par ceux qui l’osent
Et tes surprises sont multiples
Pour ceux qui en font le périple.

L’odeur de tes prairies balayées
Par ces vents forts de tes senteurs chargées
Souffle mes pensées au gré des vallées
Que pour aller de l’avant
J’aimerais bien dévaler.
Le regard au loin porté
Étire bien mes pensées
Au fil des années, à travers temps.

Aussi loin et je m’en souviens
Tu es repère et brillant phare.
Refuge et soutien,
Lieu de nos soirées arts
Les nuits à tes côtés
Comblent, c’est merveilleux
Les oreilles tendues
Et les sens à l’affût
C’est comme un polar
Sous le ciel étoilé
Dont on oublierai
Sa couleur d’avant : bleue.

Dans le bruit de tes nuits
Est permis d’être ouï
Au bout de la douceur,
En été, de tes soirs
Et ce, malgré l’heure.
Ensemble et un feu
Crépitant le doux son de l’aube naissante
Estompant en hâte les étoiles du ciel
Félicitant enfin les âmes patientes
D’un spectacle en valant mille chandelles.

Nils

20200317

Conscience

Consciences

Consciences multiples et coexistantes
Dans un seul et même organisme.
Doté d’une sommité aux allures sphériques,
L’être évolue et parcourt temps et distances.
Système complexe aux entités multiples et de diverses tailles,
Systèmes de régulations riches et diversifiés fonctionnels
Activité trop intense et surmenage évident.
Burnout disent les Australiens,
Malade dit l’atteinte.
Trop nains et qui se croient forts
D’une main à l’autre qui sait,
Tends d’une pose
Qui a fait ?
Ce Café

Humains qui s’octroient et se croient forts,
Demain, d’humains à autres… qui sait ?
L’une mène à l’autre qui s’étend,
Le temps d’une pause.

Ce qui a fait quoi ?
Ceux qui font quoi ?
Celle qui fait quoi d’autre ?
Celui qui dit qu’il fait.
Ce lui qui dit qui il est et qu’il est comme il dit et qu’il l’est.
Ce qui fit fondre les neiges,
Ceux qui font savoir que le climat s’affole.
Laissez les sceptiques dans leurs dépotoirs en pleine nature
Versez-y le pétrole restant en partant et jetez votre dernière allumette dedans.
Par ma barbe et les abeilles dont j’ai la garde !
Où m’égare-je,
Par mégarde,
Du Voyage…
Voie de garage ?


Non,
nIes ?
nuLlement !
oseS     

20200229

Hommages et honneurs


Curieuse elle est de découvrir les Anciens
- En cette montagne imaginaire -
Et le message qui est pour elle, d’eux : à recevoir.
- Échanges et partages comme gènes et allèles -
Ajouter la composante du monde parallèle
- aux mutations évolutives syncrones -
À la réalité de ce monde,
- en constantes circonvolutions -
Qu’est notre perception
- galactiques. -
Et la mienne,
- À toi que j’aime -
En réponse à la tienne.
- Oui et quand bien même ! -
Qui fait votre
- Ce qui est notre-
Celle qui peut être sienne,
- Aussi bien que mienne -
Qui veut être
- Libre -
Et par l’être
- Vraie -
Parle,
- Par les Fées -
Est
- Et fait -
Très
- Bien voir parfait -
Lettres
- & -
Peu
.
..
#Na2&
..
.


20200220

Sortie du premier livre passant par un imprimeur pro

Disponible aussi en se perdant vers
ou
et pour sa version numérique c'est par ici :
https://mailia.me/txt/chroniques
avec diverses langues accessibles grâce à Google



Liseuses de bonnes aventures et lecteurs politisés ou non,

Ça y est, la première version reliée réalisée par un professionnel a eu lieu !
Nous avons eu la livraison, le 14 février, des 4 premiers cartons de livres.
Assez proches de nos attentes, nous y avons aussi des surprises pour nous-même.
En tant que premier jet, je suis assez satisfait et cela prépare bien à éditer le premier ISBN dans les règles de l’art : avec dépôt légal et autres mentions légales obligatoires lorsqu’il s’agit de vente.
C’est pour cela que pour le moment, l’ouvrage tiré à titre personnel est offert en échange d’un don en faveur de tirage du premier ISBN à venir qui ressemblera à son jumeau.
Plus le nombre de volumes à imprimer sera grand, plus le prix final pourra être menu.

L’aventure continue à grand coups d’ailes et à vivre de l’intérieur, c’est très passionnant.

N’hésitez pas à m’envoyer par mails, ou autres moyens à votre disposition vos commandes ou demandes d’informations complémentaires.
(mielskempf (a) gmail.com)

Nous pouvons organiser les livraisons en mains propres tout comme par expéditeurs, tout peut se discuter et cela a déjà commencé d’un bon pas.

Maintenant que mon premier à ouvert la voie, les suivants sont prévus et en cours de travail. Divers manuscrits assez conséquents sont dans la file d’attente et en cours de travail.


Voici quelques détails :



Description du prix libre :

Le prix libre, selon mon point de vue, est un prix flottant fixé au cas par cas.
Librement accepté par les deux parties, celui-ci n'implique pas forcément le choix unilatéral du prix. Il se retrouverait imposé à l'autre qui perdrait sa notion de liberté.
Ainsi voici des repères :
Il nous a coûté environ 10€/livre
On espère 15€ et si + il y a, on complète avec des cadeaux diversifiés en fonction de ce qui peut faire plaisir aux différents protagonistes.
Je propose aussi une réservation/réduction pour la version légale, en prédistribution avant le lancement public.
Mon but est de discuter un peu des notions de valeurs autour de ce débat. Ainsi que d’arriver à un prix minimum applicable de 5-7€ par livre.

Description du livre :

Le livre est au format A4, contient 120 pages, a une couverture plus épaisse et lisse, légèrement cartonnée. Il pèse un peu moins de 400gr et est volontairement imprimé en caractères à la grande majorité bien grands et espacés.
Le but en est la lisibilité facilitée pour toutes vues.

Contenant poésies et proses, il est plutôt pensé pour être ouvert au hasard et pour faire raisonner l'imagination et l'inspiration créative dans les mondes internes des spectacteurs, tant souvenirs des passés que projections vers des futurs voulus et à viser.

Pour le moment, les améliorations prévues pour la sortie officielle sont :
- mentions légales
- ajout de 4 pages
- intégration d'une image en couleurs sur la couverture que j'aimerai sur un fond bleu clair
- intégration de graphismes à l'intérieur qui seront, je pense, en couleurs
- rectificatifs des coquilles trouvées
- relecture méticuleuse complète
- plus grande commande pour un prix baissé malgré l'augmentation due aux couleurs ajoutées.

Merci pour la lecture !!


À bientôt pour la suite et les prochains épisodes !

20200212

Flashback



Et je pensais vous le dire.
Passant pour idiot complautiste.
Argumentant en vain face à vos mémoires défaillantes.
Ayant raison bien au-delà de vos compréhensions.
Allant plus loin que vos perceptions.

Et vous m’apprenez quoi lorsque vous n’essayez pas de prendre ce que j’ai ?
Vous êtes qui pour me prendre pour ce que je ne suis ?

Venez donc me parler de votre bonne santé,
Partagez vos astuces pour les maintenir en meilleurs équilibres,
Prônez-moi vos convictions étayées
Fête ! : Vos preuves.
Allez donc vous faire Maître par vous-même.

Vous vous souviendrez de gré, de force.
Si je m’en souviens, accroche-toi, ça va être tien.

Grâce à qui, jadis, as-tu continué à vivre quelques pas plus loin que ce que ton cœur t’offrait ?
Grâce à qui, ce cœur, était-il sur le point de cesser son combat ?
Par qui a-t’il été entretenu dans un esprit de longévité ?
Se sent-il aussi seul et abandonné pour se retrouver en telle déperdition ?
Est-il si peu utile qu’en prendre soin ainsi est un juste retour harmonieux d’équilibre ?

Avance et écris ce que tu ne peux supporter,
Pense et fait face à ce que la colle émit
Prends moi pour fou dans ton flou
Je vois bien mieux comme tu titubes lorsque tu te penses dansant sur ce tube.
Retiens ma plume qui devient marteau
Sinon j’assure l’utilité de l’enclume, frérot.
Avance et crie si tu ne sais me supporter
Pousse-toi, tu me chies, je ne puis te porter.


N

20200211

20200211-Viens du fçon


Viens m’en parler de la bonne façon.

Dis-moi handicapé
Par les facteurs handicapants

Sois handicapant par ta compréhension handicapée
De ce qu’est un handicap

Tu handicapes autour de toi en te rendant compte de ce que tu (dé)génères
Chez les ultra-sensibles


Prends consciences
De ceux que nous sommes et comment nous réagissons à notre manière aux différents stimuli, toutes et tous à notre façon unique et particulièrement personnelle.

Prends le temps
De te rendre compte que ta réalité n’est pas la seule possibilité de percevoir le monde.

Prends-le temps
De t’ouvrir à ces nouveautés pour toi

Qui t’entourent depuis si longtemps et se connaissent depuis au moins autant
Qui t’observent ignorer l’ignorance que tu observes
Qui t’entourent et ne t’ignorent à leur tour


N

20200206

À Moi


C’est une évidence mise en lumière et au su collectif.
C’est un constat simple et froid.
C’est déplorable et pourtant c’est comme ça :
Contacts quotidiens sur des semaines,
Imposition de venues non désirées
Rapprochements contre volonté
En passant par les lignes de téléphones à domicile des parents du compagnon
En faisant appeler une personnalité locale l’un des parents pour forcer le contact par téléphones
En lançant des personnes de la famille prendre contact par téléphone et e-mail
En provoquant la rencontre forcée des parents d’un couple qui ne le voulait pas
En annonçant des cadeaux dont jamais la réalité n’est tangible
En appelant le médecin et tenter de forcer le secret médical, suggérant même des diagnostics
Blagues très douteuses où l’on se retrouve à faire du bouche à bouche à tout le monde si l’on en croit la médisance qui sourit en suintant ses vices
Usure à l’extrême qui s’empêtre dans les lois comme un enfant qui lit des thèses pour s’endormir
Invasion multipolaire de la vie de quelqu’un qui ne le souhaite pas et le fait savoir
Esquive d’une rage lente, lourde et forte pour ne pas se salir les mains
Effort créatif écrit pour évacuer cette gerbe de merde puante hors des oreilles de ce monde
Politesse, ultimatum, dernière sommation avant passage à l’acte pour protection face à un harcèlement avéré envers personnes handicapées par des êtres malveillants qui croient pouvoir agir en toute impunité
Cri 2 N

Si tu crois t’en tirer comme ça, sache que quelques années ne sont qu’un instant
Si tu crois esquiver, souviens-toi que face à l’éternité, la vérité finit toujours par éclater
La tête, l’âme et l’esprit des conscients qui ont voulu frelater la réalité
Se fait décrotiquer dans les limbes jusqu’à compréhension des erreurs parcourues pour arriver si bas
N’oublies jamais qui je suis car jamais je ne t’oublierais
Souviens-toi bien à qui tu as cru t’attaquer avant de le rencontrer
Cherches encore à fouiner dans les feuilles mortes
Soulèves encore un peu la poussière du chemin qui t’éloigne de moi
Traces ta route de méfaits parcourus pendant cette si sale et longue existence
Paies tes actes, aussi con, c’est quand le début du calvaire
S’annonce derrière les collines du soleil levant
Reviens encore, sans hésiter
Je saurais t’accueillir sans épée
Sans sens de lame ni de la paix
Armé de grâce par tes actes inspirés
Je passerais le seul coup de fil que tu vivras comme fouet
Je te sourirais de mes dents pointues un dernier instant pour pouvoir conter de longues soirées de feux la mine que tu auras fait en lançant tes ultimes erreurs bafouillées avouant si fort ta réalité.

20200127

20200127


Il était une fois, un con(te),(et) une légende.
Libre il se chantait jadis, dans d’autres époques.
Triste constat de remarquer à quel point il y est lié, à ses possessions basses et matérielles.
Lourd constat d’une telle aberration pour un petit personnage qui a vécu payé pour ce qu’il vendait comme spirituel.
Il paraît que dans la chanson il est libre et ne se prend pas les pieds dans le filet, dans le système dont il tente en vain d’abuser.
Il paraît que certains le voient voler … et c’est tellement évident qu’il plane.
Tellement évident qu’il tente tant et si mal de voler de ce qu’il croit être ses « elles » .
Système ayant d’ailleurs les chasses d’eau prêtes à servir pour ce genre d’erreurs qui se font finalement extraire d’un système qui ne les porte ni dans le coeur ni en hauteur.
Lourdeur d’un passif d’abus et d’aberrations, constructions fictives de paroles en l’air dont très rarement la réalité confirme le sens.
Sonnettes d’alarmes tirées et lumière faite sur bien des actes et paroles liées à ce trou noir dont on évite de prononcer le prénom.
Dévoilement de moultes intentions cachées volontairement.
Évidence d’un conflit déclaré entre deux parties qui ne se rattrapent en rien lorsqu’elles nous veulent impliquées pour l’une ou l’autre des parties qui se chamaillent ce qui n’est leur, qui se battent comme des charognards autour d’une carcasse.
Remise des points dans la gueule :
Est vivante,
A :
- ses avis,
- ses convictions,
- ses volontés,
- sa compréhension
- sa liberté ( de conscience, d’expression, de pensée )
- sa propre estime
- son respect ( de gré et de force )

Si personne ne le communique, que personne n’aime cette réalité, que personne ne se sent concerné, c’est une conscience des choses.
Il en reste les vrais sur qui compter est toujours salué positivement.
Ceux qui savent que plus grand est le nombre de personnes concernées, moins tout un chacun s’implique chez les lambdas.
Ceux qui se sentent concernés par humanité et humanisme.
Ceux qui s’impliquent corps et âme dans les meilleures dynamiques.
Ceux qui sont soutiens quoi qu’il arrive.
Maquisards, résistants, oppressés libérés, et tous proches à cette cause commune.
Cette volonté de nettoyage de fond de la société qui est toujours malade de ces collaborateurs.
Identification claire et transparente des maillons noirs qui font la faiblesse de tout un pays.
Interprétation d’un partition universelle aux multiples protagonistes accordés en harmonie.
Manies qui puent là… Sion
Si on… je, tu, il/elle, nous, vous, eux…
L’oiseau léger s’envole de son arbre vers ses plus chers horizons.

20191229

Celle-ci



J’aime parcourir dans mes souvenirs
Les moments vécus en sa compagnie
Ce qui m’a toujours mené vers l’avenir
Afin de la retrouver pour la vie.

Cette montagne sacrée
Élancée vers les espaces célestes,
Cette échelle divine élevée
Connexion aux cieux dont nous sommes le lest.

Je l’aime comme elle se présente et se laisse découvrir
La contemple comme un enfant émerveillé
Veille sur son bonheur comme sur le feu d’hiver
En prends soin comme d’une plante au printemps
La suit vitalement comme l’eau dans les torrides étés

À Elle

N

20191228

Bribe de débuts

Lorsque j'élève le pied,
Le second redescend.

Chemin de soie
Au delà des Miroirs
Miroitements étroits
Contenant(s) ce(ux) qui, d’en face, monte(nt)
Et est celui allant vers le Nord.

Pour que les Sages d’en haut
Lui montrent les chemins.

Voies des possibles
Partages de richesses
Échanges harmonieux
Développements enharmoniques mutuels.

Histoires du Monde qui vient
Partagées aux petits Matins

Des nuits et des Lits


Six jeux

Lis moi-même
Le mot
Nils


Lu
Par soi-même

Ou / et

Si je n’y
Arrive, demande, ouï, vois
Lis toi-même
Nils


Et

Si tu aimes,
Le çon
Lui :
Entend
Nils


Ni si il y lie l’histoire

Aussi

Est-ce
Pire able ?

Pas lui-même
Il sait


Si
Lui
Il sait


Lui aussi
Il l’aime

Et elle luit
Lui lit la nuit

Aussi haut si c’est lui
Si il n’y voit bien
Il la soutient haut
Elle qui l’aide et libère la lumière

Qui y lui éclaire ici
Sous la couette où on lui y a lu cette histoire à cette heure-ci

Deux hauts rendements en lisibilité délimitée

L'effet des fées


Ma Qué ?

Fait-on…/enfait ... ?
Sifflait-on
Ces effets, c'est faits/sons
Ces si…
Bells…

Fais !
C’est ces six sons
Flans
Flasques
Et frissons
Francs
Heureux
Tonitruants
|
Fée !
Cessez ces six sons !
Fantasques
Et frissons
Feront des heureux
tonitruants.

Les Oies et leurs ailes déployées


#20190914#


Elles


Elles étaient venue


Passées de passage

Amorçant ainsi

Ce qui permet

Très précisément

La prévision

Des retours

En lentes

Circonvolutions

Migratoires.



Elles savent

Et font

Elles lavent

Et sont

Elles lisent

Et ont

Elles en disent

Long.

Facette


Une nuit,


Plus tard,


Il s’éveilla.

*

Comme une plante,

Qui renaît,

Au travers de sa descendance.

*


Tel un Phénix,

Il prend son envol.



Poursuit sa route,

Son long vol.

Le petit Nils Holgersson,


Voyage sur des Oies.




Continue dans sa quête,


La découverte, des pays survolés,


Dans son parcours de vie.

Comprends, en les ayant observés,

Les souvenirs que nous avons,

De les avoir traversées.


Il réalise,

L’étendue de son Pays.

Veut achever sa quête,

Pouvoir rentrer chez lui.


Ce qui,

Avec certaines conditions,

Pourra se faire.

Effluves


Rêves et souvenirs,
 
Monde Imaginaire.


Je me souviens de la sensation,
 

Vécue par la plume d’un oiseau.



Celle qui effleure les courants d’air,

Poussant avec vigueur,

Son support et moteur.


Permettant ainsi l’élévation,

D’un organisme développé.

De la terre vers les airs.


Sublimation instantanée,



De terrestre, à aérien.



La matière sait évoluer.


Voyage partagé jusqu’à un certain point.

Je me le souviens, tu partais à l’aventure.


Telle la plume,

Ton sourire était remarquable,

Resplendissant sur ton visage.


J’ai vécu des aventures extraordinaires,

Des bonheurs,

Que je n’avais imaginés jusqu’alors.


L’émotion me submergea parfois,

 Sensations que je recherche

Dorénavant autrement.


 .
 .
 .
 .
 

Je me souviens d’une chanson,
 
 Qui disait quelque chose, comme :
 
Tout, a un début,

Rien, une fin.

L'orage


Je l’entends qui arrive.


Le vent souffle,

Son chant lointain.

Il gronde,

Il fulmine.

C’est l’Orage qui vient.

Il approche doucement,

Forces puissantes à l’action.

Bienfaisante nature,

Ils soulagent les tensions.

Accumulées avec tant,

De chaleurs supportées.


Nous rendent visite.

Apportent un souffle nouveau.

 
 Source de vie,
 

Origine des pluies.




Majestueux,
 
D’une taille impressionnante.
 

Tous l’attendaient.
 


Vaisseau dimensionnel,
 
Libérant les foudres.
 

Il frappe,

Avec ses pairs.
 

Répartis sur Terre,
 
 Une fréquence. 
 

Une vibration.