20200914

Lettre ouverte à l'attention de l'Harmonie et de ses membres

 

Lettre à l’attention de l’harmonie et de ses membres


Chers amis, Je suis parti le coeur lourd et l'âme en peine. Cela n'a pas été un plaisir de devoir mettre une distance de sécurité et de secours mais c'était plus que nécessaire. En effet, être loin d'une horrible génitrice et sa souillure de CONpagnon était urgent pour ne pas me faire détruire intégralement et éviter de plonger dans une dépression suicidaire. Il est désormais tout à fait public que son frank-maçon apparu l'an dernier dans son jeu d'échecs est mauvais et destructeur par ses paroles viles, ses actes malsains ainsi que ses comportements blessants, dégradants et volontairement néfaste. Il est aussi désormais présenté au su de tous ce que cette affreuse paire d'êtres malsains a tout mis en œuvre depuis cet hiver pour détruire la relation que je vis avec Natascha que vous avez rencontré. Sans les accuser pour le moment d’abus de confiance et d’abus de faiblesse devant les autorités compétentes, je ne fais que rendre public ce qu’ils ont essayé de cacher dans leur propre intérêt.

Je signale donc en lettre ouverte qu’ils ont d’abord cherché à nous convaincre de ne pas nous rendre à l’hôpital psychiatrique prétextant l’afflux massif dû au soi-disant covid, qu’ils ont hébergé dans la chambre où j’ai grandi Natascha tout en m’empêchant de diverses façons des plus tordues de la voir et de lui parler. L’arsenal de subterfuges, que je suis prêt à communiquer, qu’ils ont mis en place dépasse l’entendement de loin si l’on part sur le principe qu’une mère aime son fils et veut son bonheur et non comme c’est visiblement le cas pour la détresse qu’il traverse quand elle s’active à l’y plonger et dont elle se nourrit depuis très longtemps. Ceux qui la connaissent bien savent et se souviennent qu’il y a quelques années elle menaçait de porter plainte contre X pour harcèlement anonyme en suggérant que j’en étais à l’origine, lorsque l’un de ses collègues avait cru bon de mettre la définition wikipédia de ‘Schadenfreude’ dont elle est probablement et ostensiblement atteinte depuis très longtemps dans la boîte aux lettres. Si elle en était arrivé à la conclusion que je cherchais peut-être à lui faire un retour de manivelle, elle en a probablement les raisons et les arguments qui justifieraient de tels actes vils d’un niveau de bassesse lui étant habituel et dont je ne fais usage.

Je ne dis pas qu’elle est la responsable du suicide que j’ai failli commettre à l’âge de 13 ans, elle était cependant en majeure partie à l’origine de la souffrance extrême qui m’y a mené et dont j’ai échappé de justesse. À l’âge de 8 ans j’ai voulu partir du domicile imposé et était entrain de préparer mon sac lorsque mon père est intervenu, à sa demande sur ce que j’étais entrain de faire, je lui ai répondu (et je m’en souviens très bien) que je ne voyais pas pourquoi je devais vivre sous le même toit que cette personne qui me voulait tant de mal et me harcelait autant. Aussi loin que je me souvienne, je crois que les sévices physiques ont cessé lorsque je suis arrivé en âge de prendre un couteau et de m’en servir pour me défendre suite à quoi les tortures ne furent « plus que » psychologiques.

Je ne suis désormais plus seul face à une telle ignominie et je ne garde plus en moi ce qui me rongeait de l’intérieur. L’exprimer, l’expulser, est fondamental pour ne pas me mettre à reproduire de tels comportements. L’écrire et le communiquer est, je l’espère, un moyen de permettre à d’autres de se prémunir et se protéger contre de tels ‘vampires énergétiques’ qui se plaisent du mal-être des autres, qui se plaisent à contrôler et diriger d’autres vies au détriment de la liberté de tout un chacun de vivre leurs propres vies. Pour finir cette lettre ouverte et publique, je ne vous demanderai pas d’essayer de justifier leurs actes (ce qui reviendrait à remonter dans l’horreur pour trouver le début des racines du mal qui les y ont mené), j’appelle juste à la réflexion sur ce résumé : une mère et son nouveau compagnon font tout pour détruire l’union et rendre impossible l’expression de l’amour que vit le second enfant qu’elle a mit au monde (hé non, je ne peux pas écrire ‘son’ fils, je ne lui appartient pas, définitivement). Est-ce une devinette où rien n’est caché ? Ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour détruire l’amour.

En tant qu’artiste musicien, je suis un fervent défenseur de la liberté d’interprétation, fervent défenseur de la liberté, fervent défenseur de la liberté d’expression, fervent diffuseur de ces supports au bonheur et à l’amour des arts, fervent défenseur de l’amour tout court.

Nos anciens se souviennent encore de l’époque où rentrer dans la résistance au péril de sa vie était un acte de bravoure pour la liberté des générations futures, pour empêcher des horreurs de progresser en toute impunité dans le monde. Aujourd’hui et ce n’est pas la première fois que je le vis, je pose un ultimatum simple : choisir son camp entre celui du déni qui cautionne la destruction méticuleuse de la liberté et de l’amour et celui pour lequel je prends le stylo comme arme d’écrivain. En connaissance de causes, je ne conçois pas d’Êtres Humains qui fermeraient les yeux sur de telles barbaries affectant un frère de la même espèce, qui signeraient pour que continuent les sévices et tortures sur leurs proches que l’on aime et défend. Et par respect de l’Autre, par respect de la liberté, par respect tout court, je ne chercherai aucunement à savoir qui se place d’un côté ou de l’autre. Mon choix est clair et présenté en toute transparence.

Si je vous ai croisés, c’est par amour de la musique que nous avons partagés de bon coeur et dont je garderai beaucoup de très bons souvenirs. Pour cela je vous remercie du fond du coeur et vous encourage à rester forts, soudés et brillants comme je vous connais afin que persiste l’expression de l’art, de l’amour de l’art que vous développez avec tant de soin et encore une fois : que j’ai eu immense plaisir à vivre avec vous. Merci d’avoir lu jusqu’ici et au-delà du chaos (r)évoqué. Merci de m’avoir soutenu parfois sans le savoir, merci de m’avoir accepté chaleureusement comme une famille que je n’avais pas eu, merci à vous tout simplement. Grâce aux technologies je ne suis pas si loin pour celles et ceux qui voudraient communiquer directement avec moi, mais il ne faudra pas m’en vouloir si, comme en écrivant ces lignes, ma gorge se serre et mes larmes coulent.

Peut-être à bientôt,

Votre ami musicien

Nils

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