Et je pensais vous
le dire.
Passant pour idiot
complautiste.
Argumentant en vain
face à vos mémoires défaillantes.
Ayant raison bien
au-delà de vos compréhensions.
Allant plus loin que
vos perceptions.
Et vous m’apprenez
quoi lorsque vous n’essayez pas de prendre ce que j’ai ?
Vous ĂȘtes qui pour
me prendre pour ce que je ne suis ?
Venez donc me parler
de votre bonne santé,
Partagez vos astuces
pour les maintenir en meilleurs Ă©quilibres,
PrĂŽnez-moi vos
convictions étayées
FĂȘte ! :
Vos preuves.
Allez donc vous
faire MaĂźtre par vous-mĂȘme.
Vous vous
souviendrez de gré, de force.
Si je m’en
souviens, accroche-toi, ça va ĂȘtre tien.
GrĂące Ă qui,
jadis, as-tu continué à vivre quelques pas plus loin que ce que ton
cĆur t’offrait ?
GrĂące Ă qui, ce
cĆur, Ă©tait-il sur le point de cesser son combat ?
Par qui a-t’il Ă©tĂ©
entretenu dans un esprit de longévité ?
Se sent-il aussi
seul et abandonné pour se retrouver en telle déperdition ?
Est-il si peu utile
qu’en prendre soin ainsi est un juste retour harmonieux
d’Ă©quilibre ?
Avance et Ă©cris ce
que tu ne peux supporter,
Pense et fait face Ă
ce que la colle Ă©mit
Prends moi pour fou
dans ton flou
Je vois bien mieux
comme tu titubes lorsque tu te penses dansant sur ce tube.
Retiens ma plume qui
devient marteau
Sinon j’assure
l’utilitĂ© de l’enclume, frĂ©rot.
Avance et crie si tu
ne sais me supporter
Pousse-toi, tu me
chies, je ne puis te porter.
N
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