20200206

À Moi


C’est une Ă©vidence mise en lumiĂšre et au su collectif.
C’est un constat simple et froid.
C’est dĂ©plorable et pourtant c’est comme ça :
Contacts quotidiens sur des semaines,
Imposition de venues non désirées
Rapprochements contre volonté
En passant par les lignes de téléphones à domicile des parents du compagnon
En faisant appeler une personnalitĂ© locale l’un des parents pour forcer le contact par tĂ©lĂ©phones
En lançant des personnes de la famille prendre contact par téléphone et e-mail
En provoquant la rencontre forcĂ©e des parents d’un couple qui ne le voulait pas
En annonçant des cadeaux dont jamais la rĂ©alitĂ© n’est tangible
En appelant le mĂ©decin et tenter de forcer le secret mĂ©dical, suggĂ©rant mĂȘme des diagnostics
Blagues trĂšs douteuses oĂč l’on se retrouve Ă  faire du bouche Ă  bouche Ă  tout le monde si l’on en croit la mĂ©disance qui sourit en suintant ses vices
Usure Ă  l’extrĂȘme qui s’empĂȘtre dans les lois comme un enfant qui lit des thĂšses pour s’endormir
Invasion multipolaire de la vie de quelqu’un qui ne le souhaite pas et le fait savoir
Esquive d’une rage lente, lourde et forte pour ne pas se salir les mains
Effort créatif écrit pour évacuer cette gerbe de merde puante hors des oreilles de ce monde
Politesse, ultimatum, derniĂšre sommation avant passage Ă  l’acte pour protection face Ă  un harcĂšlement avĂ©rĂ© envers personnes handicapĂ©es par des ĂȘtres malveillants qui croient pouvoir agir en toute impunitĂ©
Cri 2 N

Si tu crois t’en tirer comme ça, sache que quelques annĂ©es ne sont qu’un instant
Si tu crois esquiver, souviens-toi que face Ă  l’Ă©ternitĂ©, la vĂ©ritĂ© finit toujours par Ă©clater
La tĂȘte, l’Ăąme et l’esprit des conscients qui ont voulu frelater la rĂ©alitĂ©
Se fait dĂ©crotiquer dans les limbes jusqu’Ă  comprĂ©hension des erreurs parcourues pour arriver si bas
N’oublies jamais qui je suis car jamais je ne t’oublierais
Souviens-toi bien Ă  qui tu as cru t’attaquer avant de le rencontrer
Cherches encore Ă  fouiner dans les feuilles mortes
SoulĂšves encore un peu la poussiĂšre du chemin qui t’Ă©loigne de moi
Traces ta route de méfaits parcourus pendant cette si sale et longue existence
Paies tes actes, aussi con, c’est quand le dĂ©but du calvaire
S’annonce derriĂšre les collines du soleil levant
Reviens encore, sans hésiter
Je saurais t’accueillir sans Ă©pĂ©e
Sans sens de lame ni de la paix
Armé de grùce par tes actes inspirés
Je passerais le seul coup de fil que tu vivras comme fouet
Je te sourirais de mes dents pointues un dernier instant pour pouvoir conter de longues soirées de feux la mine que tu auras fait en lançant tes ultimes erreurs bafouillées avouant si fort ta réalité.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Une façon de signer son passage, de participer.... Merci !