J’aime
ces silences,
Ces
temps Ă t’Ă©couter
MĂȘme
si, quand on y pense,
Tu
n’es pas tout Ă cĂŽtĂ©.
J’aime
ces ondulations lentes
Qui
me font penser Ă la brise dans les plantes
Ce
que je ne peux ĂȘtre sans aides
Puisque
mes membres sont trop raides.
J’aime
ces sourires étirés
Qui,
tes oreilles, essayent de croquer,
Sur
ton visage qui se retrouve ainsi
ĂclairĂ©
mĂȘme dans la nuit.
J’aime
tes Ă©missions
Parlantes
et avec passion
Exprimées
En
paix.
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