C’est
une évidence mise en lumière et au su collectif.
C’est
un constat simple et froid.
C’est déplorable et pourtant
c’est comme ça :
Contacts
quotidiens sur des semaines,
Imposition
de venues non désirées
Rapprochements
contre volonté
En
passant par les lignes de téléphones à domicile des parents du
compagnon
En
faisant appeler une personnalité locale l’un des parents pour
forcer le contact par téléphones
En
lançant des personnes de la famille prendre contact par téléphone
et e-mail
En
provoquant la rencontre forcée des parents d’un couple qui ne le
voulait pas
En
annonçant des cadeaux dont jamais la réalité n’est tangible
En
appelant le médecin et tenter de forcer le secret médical,
suggérant même des diagnostics
Blagues
très douteuses où l’on se retrouve à faire du bouche à bouche à
tout le monde si l’on en croit la médisance qui sourit en suintant
ses vices
Usure à
l’extrême qui s’empêtre dans les lois comme un enfant qui lit
des thèses pour s’endormir
Invasion
multipolaire de la vie de quelqu’un qui ne le souhaite pas et le
fait savoir
Esquive
d’une rage lente, lourde et forte pour ne pas se salir les mains
Effort
créatif écrit pour évacuer cette gerbe de merde puante hors des
oreilles de ce monde
Politesse,
ultimatum, dernière sommation avant passage à l’acte pour
protection face à un harcèlement avéré envers personnes
handicapées par des êtres malveillants qui croient pouvoir agir en
toute impunité
Cri 2 N
Si tu
crois t’en tirer comme ça, sache que quelques années ne sont
qu’un instant
Si tu
crois esquiver, souviens-toi que face à l’éternité, la vérité
finit toujours par éclater
La
tête, l’âme et l’esprit des conscients qui ont voulu frelater
la réalité
Se fait
décrotiquer dans les limbes jusqu’à compréhension des erreurs
parcourues pour arriver si bas
N’oublies
jamais qui je suis car jamais je ne t’oublierais
Souviens-toi
bien à qui tu as cru t’attaquer avant de le rencontrer
Cherches
encore à fouiner dans les feuilles mortes
Soulèves
encore un peu la poussière du chemin qui t’éloigne de moi
Traces
ta route de méfaits parcourus pendant cette si sale et longue
existence
Paies
tes actes, aussi con, c’est quand le début du calvaire
S’annonce
derrière les collines du soleil levant
Reviens
encore, sans hésiter
Je
saurais t’accueillir sans épée
Sans
sens de lame ni de la paix
Armé
de grâce par tes actes inspirés
Je
passerais le seul coup de fil que tu vivras comme fouet
Je te
sourirais de mes dents pointues un dernier instant pour pouvoir
conter de longues soirées de feux la mine que tu auras fait en
lançant tes ultimes erreurs bafouillées avouant si fort ta réalité.