Lettre
à l’attention de l’harmonie et de ses membres
Chers
amis, Je suis parti le coeur lourd et l'âme en peine. Cela n'a pas
été un plaisir de devoir mettre une distance de sécurité et de
secours mais c'était plus que nécessaire. En effet, être loin
d'une horrible génitrice et sa souillure de CONpagnon était urgent
pour ne pas me faire détruire intégralement et éviter de plonger
dans une dépression suicidaire. Il est désormais tout à fait
public que son frank-maçon apparu l'an dernier dans son jeu d'échecs
est mauvais et destructeur par ses paroles viles, ses actes malsains
ainsi que ses comportements blessants, dégradants et volontairement
néfaste. Il est aussi désormais présenté au su de tous ce que
cette affreuse paire d'êtres malsains a tout mis en œuvre depuis
cet hiver pour détruire la relation que je vis avec Natascha que
vous avez rencontré. Sans les accuser pour le moment d’abus de
confiance et d’abus de faiblesse devant les autorités compétentes,
je ne fais que rendre public ce qu’ils ont essayé de cacher dans
leur propre intérêt.
Je
signale donc en lettre ouverte qu’ils ont d’abord cherché à
nous convaincre de ne pas nous rendre à l’hôpital psychiatrique
prétextant l’afflux massif dû au soi-disant covid, qu’ils ont
hébergé dans la chambre où j’ai grandi Natascha tout en
m’empêchant de diverses façons des plus tordues de la voir et de
lui parler. L’arsenal de subterfuges, que je suis prêt à
communiquer, qu’ils ont mis en place dépasse l’entendement de
loin si l’on part sur le principe qu’une mère aime son fils et
veut son bonheur et non comme c’est visiblement le cas pour la
détresse qu’il traverse quand elle s’active à l’y plonger et
dont elle se nourrit depuis très longtemps. Ceux qui la connaissent
bien savent et se souviennent qu’il y a quelques années elle
menaçait de porter plainte contre X pour harcèlement anonyme en
suggérant que j’en étais à l’origine, lorsque l’un de ses
collègues avait cru bon de mettre la définition wikipédia de
‘Schadenfreude’ dont elle est probablement et ostensiblement
atteinte depuis très longtemps dans la boîte aux lettres. Si elle
en était arrivé à la conclusion que je cherchais peut-être à lui
faire un retour de manivelle, elle en a probablement les raisons et
les arguments qui justifieraient de tels actes vils d’un niveau de
bassesse lui étant habituel et dont je ne fais usage.
Je
ne dis pas qu’elle est la responsable du suicide que j’ai failli
commettre à l’âge de 13 ans, elle était cependant en majeure
partie à l’origine de la souffrance extrême qui m’y a mené et
dont j’ai échappé de justesse. À l’âge de 8 ans j’ai voulu
partir du domicile imposé et était entrain de préparer mon sac
lorsque mon père est intervenu, à sa demande sur ce que j’étais
entrain de faire, je lui ai répondu (et je m’en souviens très
bien) que je ne voyais pas pourquoi je devais vivre sous le même
toit que cette personne qui me voulait tant de mal et me harcelait
autant. Aussi loin que je me souvienne, je crois que les sévices
physiques ont cessé lorsque je suis arrivé en âge de prendre un
couteau et de m’en servir pour me défendre suite à quoi les
tortures ne furent « plus que » psychologiques.
Je
ne suis désormais plus seul face à une telle ignominie et je ne
garde plus en moi ce qui me rongeait de l’intérieur. L’exprimer,
l’expulser, est fondamental pour ne pas me mettre à reproduire de
tels comportements. L’écrire et le communiquer est, je l’espère,
un moyen de permettre à d’autres de se prémunir et se protéger
contre de tels ‘vampires énergétiques’ qui se plaisent du
mal-être des autres, qui se plaisent à contrôler et diriger
d’autres vies au détriment de la liberté de tout un chacun de
vivre leurs propres vies. Pour finir cette lettre ouverte et
publique, je ne vous demanderai pas d’essayer de justifier leurs
actes (ce qui reviendrait à remonter dans l’horreur pour trouver
le début des racines du mal qui les y ont mené), j’appelle juste
à la réflexion sur ce résumé : une mère et son nouveau
compagnon font tout pour détruire l’union et rendre impossible
l’expression de l’amour que vit le second enfant qu’elle a mit
au monde (hé non, je ne peux pas écrire ‘son’ fils, je ne lui
appartient pas, définitivement). Est-ce une devinette où rien n’est
caché ? Ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour détruire
l’amour.
En
tant qu’artiste musicien, je suis un fervent défenseur de la
liberté d’interprétation, fervent défenseur de la liberté,
fervent défenseur de la liberté d’expression, fervent diffuseur
de ces supports au bonheur et à l’amour des arts, fervent
défenseur de l’amour tout court.
Nos
anciens se souviennent encore de l’époque où rentrer dans la
résistance au péril de sa vie était un acte de bravoure pour la
liberté des générations futures, pour empêcher des horreurs de
progresser en toute impunité dans le monde. Aujourd’hui et ce
n’est pas la première fois que je le vis, je pose un ultimatum
simple : choisir son camp entre celui du déni qui cautionne la
destruction méticuleuse de la liberté et de l’amour et celui pour
lequel je prends le stylo comme arme d’écrivain. En connaissance
de causes, je ne conçois pas d’Êtres Humains qui fermeraient les
yeux sur de telles barbaries affectant un frère de la même espèce,
qui signeraient pour que continuent les sévices et tortures sur
leurs proches que l’on aime et défend. Et par respect de l’Autre,
par respect de la liberté, par respect tout court, je ne chercherai
aucunement à savoir qui se place d’un côté ou de l’autre. Mon
choix est clair et présenté en toute transparence.
Si
je vous ai croisés, c’est par amour de la musique que nous avons
partagés de bon coeur et dont je garderai beaucoup de très bons
souvenirs. Pour cela je vous remercie du fond du coeur et vous
encourage à rester forts, soudés et brillants comme je vous connais
afin que persiste l’expression de l’art, de l’amour de l’art
que vous développez avec tant de soin et encore une fois : que
j’ai eu immense plaisir à vivre avec vous. Merci d’avoir lu
jusqu’ici et au-delà du chaos (r)évoqué. Merci de m’avoir
soutenu parfois sans le savoir, merci de m’avoir accepté
chaleureusement comme une famille que je n’avais pas eu, merci à
vous tout simplement. Grâce aux technologies je ne suis pas si loin
pour celles et ceux qui voudraient communiquer directement avec moi,
mais il ne faudra pas m’en vouloir si, comme en écrivant ces
lignes, ma gorge se serre et mes larmes coulent.
Peut-être
à bientôt,
Votre
ami musicien
Nils