Si ça
va
L’aile
Le
cou
L’
« Œuvrer »
Le
vrai
Le
rêverai
Elle
élèverait
L’Ère
des Réels
À
l’heure irréelle
Entre
rêve et réalité
Entre
l’éther et la mer
Entre
Cieux et Monts
Liant
Lune et l’Eau
Triant
au petit trot
Pieds
bien calés dans les étriers
De
là,
Je
hume le vent
D’ici,
J’oscille
ainsi
Feu
ardent
Dénué
de haine nouée
Phare
allumé
Pour
l’Icare enflammé
Luciole
ou encore feu-follet
Rappelant
de sa lueur qui brille
Celle
qui du ciel étoilé luit
Pour
qui regarde plus haut
Au
loin dans la nuit
Au
dessus du feu et de ses braises qui scintillent.